Qu’il fait froid au Plessis!
Je pars au soleil dans un rêve
Je suis sur une île paradisiaque
A la rencontre du sable blanc
Une aquarelle se dessine
Entre ciel et terre aux reflets
D’or, mes pensées se colorent
Sur un air de Alain Morisod
Je m’enfuis loin de la pluie
La météo est triste à mourir
Les bancs publics sont désertés
Je voyage avec une chanson
Je tangue sur un bateau blanc
Cheveux décoiffés par le vent
En espérant revoir le ciel bleu
Le printemps va et vient
Tourne, autour de la ville
Mais repart brusquement
Corder les nuages à l’univers
Je m’enfuis loin de la pluie
La météo est triste à mourir
Les bancs publics sont désertés
La mélodie des giboulées
Irrite la saison des amours
Les fleurs perdent leur éclat
S’effeuillent sur mon balcon
Sur un air de Alain Morisod
Je voyage en attendant l’été
Ses mélodies d’un autre temps
Me font sourire en patientant
D Isabelle
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