Si la tristesse harcèle mon cœur encroûté
Je lui dédie un sourire au parfum fleuri
Si elle persiste à me taquiner, je chante
Je lui dédie un sourire au parfum fleuri
Si elle persiste à me taquiner, je chante
J’écoute de la musique en énergie à volonté
J’écris pour meubler, à exiler mes tourments
Si dans ma tête le flou se promène en nuage
J’ouvre les yeux, je gamberge sans flottement
A des projets, je parle en silence à mes enfants
Je voyage sur la toile, je surf dans mes idées
J’écris pour meubler, à exiler mes tourments
Si dans ma tête le flou se promène en nuage
J’ouvre les yeux, je gamberge sans flottement
A des projets, je parle en silence à mes enfants
Je voyage sur la toile, je surf dans mes idées
J’apprécie les ambiances amicales sur les sites
Si mon âme se perd dans les doutes, ça craint!
Je résiste, j’utilise la confiance comme arme
Je me confie à une personne devenu un ami
Qui comprend mon état d’esprit barbouillé
Sous ses conseils, je marche pour me consoler
Sous ses conseils, je marche pour me consoler
Si la tristesse m’accable, je la combat, je la défie
Je stimule mes pensées en forgeant ma patience
Je m’accroche contre les marées à la pleine lune
Pour ne pas fracasser mon portrait sur les rochers
Pour ne pas fracasser mon portrait sur les rochers
Afin de me sentir balèze et portée sous le vent
Les mots m’ont aidée à soulager mon fardeau
J’y laisse en aveu ma griffe, l’unique, la mienne
En guise de décrire les peines, les joies et le reste
Sur les feuilles d’un cahier, l’encre ruisselle, sue
La plume filtre les ressentis en agent thérapeutique
Pour conclure: La tristesse s’envole, et moi
Je plane, je suis tout bonnement une femme
D Isabelle
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