vendredi 4 août 2017

Hello, coucou, bonjour...



Pour lire mes nouveaux poèmes, je vous invite à cliquer ICI

Merci de votre visite, bien amicalement
Isabelle 




vendredi 21 juillet 2017

Il était une fois...


Voici un texte que j'ai vu circuler sur les réseaux sociaux et je me devais de vous le partager... 
A la lecture de ce texte, vous comprendrez vite pourquoi!!! 


Il était une fois quatre individus que nous appelions
Tout le monde, Quelqu'un, Chacun et Personne
Il y avait un important travail à faire,
Nous avons demandé à Tout le monde de le faire.

Tout le monde était persuadé que Quelqu'un le ferait. 
Chacun pouvait l'avoir fait, mais en réalité Personne ne le fit. 
Quelqu'un se fâcha, car c'était le travail de Tout le monde!
Tout le monde pensa que Chacun pouvait le faire.

Et Personne ne doutait que Quelqu'un le ferait.
En fin de compte, Tout le monde fit des reproches à Chacun
Parce que Personne n'avait fait ce que Quelqu'un aurait pu faire. 

MORALE 
Sans vouloir le reprocher à Tout le monde
Il serait bon que Chacun
Fasse ce qu'il doit sans espérer
Que Quelqu'un le fasse à sa place
Car l'expérience montre que
Là où nous attendons Quelqu'un
Généralement nous ne trouvons Personne

CONCLUSION 
Je vais le transférer à Tout le monde afin que Chacun
puisse l'envoyer à Quelqu'un sans oublier Personne!!!

Auteur inconnu

mercredi 19 juillet 2017

Il boit l’eau de la rivière...


Il boit l’eau de la rivière au creux de ses mains
Sans avoir peur des impuretés puisque la source 
Est grâce à ses yeux, l’eau est de l’or qui polit 
Les rochers venant tout droit des montagnes 

Assis sur la berge, ses yeux observent la nature
Comme l’aigle craintif cherchant sa proie, il bénit
Le ciel d’un signe de la main, il adore la beauté
De son univers aux paysages à perdre de vue

Je m’éloigne dans mes pensées à une vie 
Comme ces hommes pour qui l’amour est roi
La fidélité une qualité, la femme une fête
La terre une mère, les animaux des Dieux 

Séduisant avec son art pictural sur sa peau
Ses colliers, ses bracelets à franges, ses plumes
il honore les flûtes de pan en poussant un cri
Venant de l’intérieur, comme un vrai guerrier 

Il boit l’eau de la rivière au creux de ses mains
Signe de pureté et de remerciement au soleil
Habillé tout de blanc, son apparence est sereine
Je m’incline face à ses mélodies spirituelles

D Isabelle


Il médite en prière sa musique…


Alexandro Querevalú


Il joue de la flûte en bambou dans les rues des villes
Son chapeau à plumes fascine les passants friands
Le torse-nu, l’homme émotionne, sa respiration 
Profonde incite à notre plus grande attention

Habillé comme ses aïeux, il tortille ses pectoraux
Pour nous emmener en balade dans les coutumes
D’un pays lointain, le passé refait surface devant lui
Il est artistique, plein d’énergie comme le loup blanc

Il médite en prière sa musique, on comprend le sens 
De ses sérénades, le corps et l’esprit sont harmonies
Son monde est captivant, il interprète avec ses entrailles

Son allure impressionne à genou face à son instrument
Son regard est perçant et spontané sous son déguisement
Il nous atteint droit au cœur, comme une flèche en feu 
Sensible à sa musique, je fonds comme neige au soleil

Je l’imagine un bref instant sur son cheval sauvage
Au creux d’une vallée à faire la cour à sa promise
Lui demandant sa main sous un soleil couchant 
Et n’avoir comme témoin que sa flûte et son tambourin

D Isabelle


Yo Soy - Meditation by Alexandro Querevalú

La musique c'est sa passion
Alexandro Querevalú est un artiste brillant, l'un des meilleurs de son genre, et celui dont la popularité s'est répandue plus que celle de tout autre artiste 
Cela est dû à la façon unique de jouer ces instruments indigènes de l'Amérique du Nord et de l'Amérique du Sud.  
Alexandro est né à Lima, au Pérou,  il rêvait d'aider sa famille financièrement. Dans cet esprit, il a émigré en Pologne à l'âge de 18 ans. 
Comme tous ses fans je suis tombée sous le charme !
Je vous invite à continuer la lecture en allant sur son site ou sur FaceBook

mardi 27 juin 2017

Un dicton qui régale…

Illustration: Cuberdons Léopold



* Si tu as  le bourdon, mange des cuberdons… *
Savez vous ce que c’est? Non! Je vais vous le dire

Le cuberdon est une confiserie
De tradition belge fabriquée 
Avec de la résine d’acacia
Du sucre et des saveurs fruitées

On les appelle aussi dans certaines 
Régions les * Capiaux d’ Curés*
Mais aussi * le Cul de Bourdon*
Si vous avez le blues, il vous console

J’aime la façon dont les Néerlandais
Le nomment * Neuzeke* le petit nez 
Trop mignon avec l’accentuation 
On se régale rien qu’à la diction

La friandise a plus de trente parfums 
La traditionnelle est framboisée 
Sans résistance le *Cul de Bourdon*
D’antan, fait craquer nos papilles

Je lance mon chapeau aux artisans belges
De toujours pratiquer les recettes du passé
Qui nous évoquent les saveurs de l’enfance 
Si vous passez au pays pendant les vacances

Goûtez le moelleux de la friandise, pensez à moi 
En disant: «Vive le Cuberdon, vive le Capiau d’curé»
Ce moment d’ovation fera plaisir au confiseur
Comme une prouesse habile à son savoir-faire

D Isabelle


Pour en savoir plus sur  la confiserie, cliquez ICI


Les présents de mon cœur…

Illustration:  


Je n’ai pas grand-chose à vous donner
Mais, une petite pensée, je sais vous l’offrir 
Avec le cœur, la joie et la bonne humeur
En chanson, en poème  rempli de tendresse

Je n’ai pas grand-chose à vous proposer
Sauf  ma sincérité,  je sais vous la montrer
Avec spontanéité et loyauté, c’est ma destinée
Ce trait de caractère est mien, c’est ma puissance

Je n’ai pas beaucoup d’argent au fond de ma poche
Mais  ma ponctualité,  je sais vous la proposer
Si vous avez besoin de moi, je serai toujours là
Pour vous écouter et vous prendre dans mes bras

Ma maison vue du ciel n’est pas très grande
Mais ma porte reste ouverte pour vous offrir
Le café de l’amitié sur un plateau en métal rouge
Rouge comme l’amour, rouge  comme la rose

J’aimerais gagner à la loterie, pas pour être fortunée
Mais pour faire des petits gestes d’humanité
A ceux qui dorment dans la rue sans couverture
A ceux qui font les poubelles pour grignoter

Je n’ai que des petits mots au coin de la bouche
Mais  ma conscience sait les enchanter avec rien
Si vous ne me croyez pas, ce n'est pas grave
Que mes pensées soient les présents de mon cœur!

D.Isabelle

dimanche 18 juin 2017

C’est la danse des tracteurs



C’est la danse des tracteurs 
Sur les champs de blé face au vent
Le soleil fait des courbettes au ciel
Pour un été chaud, chaud, à l’horizon

C’est la danse des tracteurs 
Sur les plaines et les coteaux
Colorés comme sur les tableaux
Des artistes qui les dessinent 

Un crayon, une feuille, un coloriage
C’est ce que j’ai fait pour honorer
La passion de mon fiston, en témoignage
A sa collection de machines agricoles

C’est la danse des tracteurs 
Aux  Hauts-Pays en Wallonie, tous les ans
A la fête des moissons du village, il expose 
Son «Fendt» pour une démo à l’ancienne

C’est la danse des tracteurs
Des souvenirs se profilent dans ma tête
Quand je conduisais l’engin jusque la ferme
Ou que je grimpais sur les chariots à ballots

Un crayon, une feuille, un coloriage
C’est ce que j’ai fait pour applaudir et glorifier
Les techniques agricoles de nos grands parents
La passion de mon fiston, en démonstration

Texte et dessin: D Isabelle
Tous droits réservés ©
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1) Fendt- « c’est le nom d’un tracteur »
2) Hauts-Pays en Wallonie- « C’est une région dans le sud de la Belgique »

Fête de la Moisson à l'Ancienne à Blaregnies, pour en savoir plus, cliquez ICI


jeudi 8 juin 2017

La robe papillon...


Une fée se promène à pas endormis
Dans les rues d’une ville féerique
Face à une boutique huppée et chic
L’impression papillon d’une robe
Attire son attention, elle est ébahie 

Son cœur se met à palpiter  par jeu
Le taffetas léger lui donne le vertige
Elle se dit: «comme j’aimerais le toucher!»
Elle s’imagine non pas de porter la soie
Mais de la voir s’envoler à ses côtés

Comme par magie, des vibrations 
Traversent la vitre, sans tarder la robe  
Remue, quitte l’étalage, laisse glisser 
Son ombre entre les mannequins 
Se dirige vers la sortie du magasin

Robe n’a qu’une envie, se poser 
Sur les épaules de la magicienne 
Elle se tortille devant la déesse
La ventile de son parfum satiné
Frôle ses mains blêmes et pâles

Elle aimerait l'emmener dans les jardins 
De la capitale, sentir les roses blanches 
Pour lui en offrir une dans son décolleté 
Se sentir  admirée et appréciée en volant
Dans les sentiers des châteaux Parisiens

Mais soudainement, une alarme retentit
Fit sursauter une jeune femme endormie
Réalisant que, fée est repartie dans son logis
Et que la robe papillon n’a pas quitté l’étal 
Elle est en attente de satisfaire un corps stylé

D.Isabelle 


La robe papillon Monarque existe réellement, elle a été créée par Luly Yang, une artiste américaine spécialisée dans la confection haute couture...Les photos de cette robe font partie d'une collection intitulée "Métamorphose". 
Hommage aux créations de cet artiste, elles sont toutes magnifiques, elles font rêver! Bravo Madame


jeudi 11 mai 2017

Au retour du printemps...

Photo: D Isabelle

Au retour du printemps,
Les cœurs ont une âme poétique
Les promesses font rêver les femmes
Les visages s’ouvrent et s’épanouissent
Comme les fleurs au fond des jardins

Perchés sur la branche des espoirs hésitants
Les gentlemen sifflent comme l’oiseau des bois
En agitant leurs plumes pour n’en garder qu’une
Ils écrivent des mots d’amour  en toute loyauté
A faire glisser une larme sur leur joue mal rasée


Au retour du printemps,
Comme un sage, ils effeuillent des pétales de roses
Dans les décolletés, pour exprimer leurs sentiments
Le printemps à présent renaît comme tous les ans
En estompant les petites rides creusées par la vie

Au retour du printemps,
Les dames viendront avec leur loup au bal masqué
Cueillir les œuvres fleuries de pâques et les garder
Dans la poche secrète de leur dessous en broderie
En songeant à tous les baisers promis dans le cou

La saison des amours se réveille,
Elle n’est pas différente de celle de nos vingt ans
Les rues des villes et des campagnes s’animent
Les oiseaux des bois sont aux aguets pour chansonner
A la plus belle fleur des champs, vive le printemps


D.Isabelle  

jeudi 4 mai 2017

Good bye Louis, bye-bye Victor...


Dans la série de Louis la brocante
Ce prénom vous allait comme un gant
Vous me faisiez penser à une personne
Que je connais, chineur dans le métier
D’antiquaire, vedette en fourgonnette

Au revoir l’artiste, au revoir Victor
Votre rôle dans Louis semblait vrai
On avait presque envie de croire
A tous les scénarios, l’homme était
Original, séduisant dans son genre

Je suis triste à lire l’actualité sur mon écran
Je vous aimais bien en comédien, en baladin
Good bye Louis...Bye-Bye Victor...Bon vent!

Maryvonne était accomplie à vos côtés
En parfaite harmonie pour le commerce
Quel charme vous aviez tous les deux
C’est ce qui a fait le succès du «Roman»
Le jeu de mot vous ferait sourire, Louis

Au revoir, mais pas un adieu, Monsieur
La dernière séance est terminée, l’heure
De la retraite a sonné, le souvenir restera
Vous étiez intelligent, plaisant et généreux
Comme dans la série, un homme pudique

Je suis triste à lire l’actualité sur mon écran
Je vous aimais aussi en commissaire «Laviolette»
Good bye Louis...Bye-Bye Victor...Bon vent!

D Isabelle 



mercredi 3 mai 2017

Tu me tiens la main...

Umberto Tozzi & Lena Ka - Ti amo 
Une chanson qui m'a bien fait danser à mes jeunes années 

Nostalgie, tu m’incites à des souvenirs
A des passages de vie du passé, du présent
De joie ou de tristesse, peu importe, tu veux 
Que ta présence occupe ma raison  en silence

Nostalgie, tu es la lumière de mes rêves
Tu es un mystère la nuit quand le sommeil
Trouble mon corps, le fil de mes pensées
Se faufile en douceur face à mes yeux vert

Étrangement, mes états d’âme te racontent
Pour que tu puisses mieux savoir qui je suis 
A qui appartient le blues de mes « Ti amo »

Nostalgie, tu balances comme une feuille
Au vent pour te poser comme un baiser 
Sur ma joue, une caresse dans mes cheveux
Pour que je t’avoue que j’aime ta compagnie

Nostalgie, je te remercie de m’être charitable
Tu m’écoutes quand j’en ai besoin, tu tournes 
En slow lent sur mes espoirs, sur mon destin 
Tu me tiens la main à distance sur une mélodie 

Étrangement, mes états d’âme te racontent
Pour que tu puisses mieux savoir qui je suis 
A qui appartient le blues de mes « Ti amo »

D Isabelle

lundi 1 mai 2017

Bonne Fëte...

BONNE FETE de 1er Mai 

Un petit signe de la main
Pour vous offrir un brin de muguet
Le muguet de l’amitié

L’amitié, 
Tout comme cette fleur 
Procure du bonheur

Ce petit signe de la main
A pour mission de demander au soleil
D'apparaître un court instant pour vous

Afin que cette journée
Soit arrosée de bien-être
D'amour et de prospérité

Une journée que je vous dédie en toute simplicité 
Gros bisousss de Paris à toutes et à tous

D.Isabelle

vendredi 28 avril 2017

Le printemps va et vient...



Qu’il fait froid au Plessis!
Je pars au soleil dans un rêve
Je suis sur une île paradisiaque 
A la rencontre du sable blanc

Une aquarelle se dessine
Entre ciel et terre aux reflets
D’or, mes pensées se colorent
Sur un air de Alain Morisod

Je m’enfuis loin de la pluie
La météo est  triste à mourir
Les bancs publics sont désertés

Je voyage avec une chanson
Je tangue sur un bateau blanc
Cheveux décoiffés par le vent
En espérant revoir le ciel bleu

Le printemps va et vient
Tourne, autour de la ville 
Mais repart brusquement  
Corder les nuages à l’univers

Je m’enfuis loin de la pluie
La météo est  triste à mourir
Les bancs publics sont désertés

La mélodie des giboulées
Irrite la saison des amours
Les fleurs perdent leur éclat
S’effeuillent sur mon balcon

Sur un air de Alain Morisod
Je voyage en attendant l’été
Ses mélodies d’un autre temps
Me font sourire en patientant

D Isabelle

mercredi 26 avril 2017

Marie, la belle…




Une poésie pour toutes les Marie, en particulier à ma fille!


Marie, ton sourire est soleil
Tes yeux sont fidèles envers
Ceux que tu aimes, ton âme
Est divine auprès de tes amis

Tes yeux sont fidèles envers
La générosité et la bienveillance
Ton affection est sans aucun chichi
Aux êtres qui suivent ton chemin

Marie la bienheureuse, en poésie
Ton petit nom est beau et saint
Comme le «Bora-Bora» il rafraîchit

Comme le vent du nord sur la mer 
Tu ventiles à flot des ondes positives 
Pour associer la joie dans tes gênes 
Ta bonne humeur c’est le bonheur

Tu ventiles à flot des ondes positives 
Je souffle aux étoiles célestes de la nuit 
Ma réflexion, en petit cadeau sincère
La main sur le cœur, I sing for you

Marie la belle, je t'honore en poésie
Ton petit nom est beau et saint
Comme le «Bora-Bora» il rafraîchit

D Isabelle
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Le Bora-Bora est un cocktail sans alcool apprécié dans les îles exotiques 

Ingrédients pour 1 personne 
10 cl de jus d'ananas 
6 cl de jus de fruit de la passion (maracuja) 
2 cl de sirop de grenadine 
1 cl de jus de citrons

Réalisez cette recette dans shaker . 
Servez dans un verre à cocktail contenant des glaçons et une paille. 
Décorez d’ une rondelle d'orange








vendredi 7 avril 2017

Personne ne l’entend...

Photo: Auteur inconnu


Sœur Emmanuelle, si vous pouvez voir de là-haut
Ce qui se passe ici-bas, c’est l’horreur, demandez
A  tous les Dieu que vous croisez sur votre route
De mettre fin à la souffrance des pays en conflit

L’abbé Pierre par pitié, entendez la prière de la terre
Faites que votre travail ne tombe pas dans le puits
Au creux des eaux incurables, la misère prolifère
Le monde est fatigué, il recule au lieu d’avancer

J’aimerais crier sur tous les toits, plus jamais ça 
Mais, ma voix est faible, personne ne l’entend

Mère Teresa ne nous laissez pas nous écrouler 
Si la vie existe ailleurs, regardez  la mappemonde 
Plus rien ne va, la décadence est internationale
Que devons-nous faire? L’urgence est imminente 

L’abbé Lecygne, personne ne vous connaît
Mais au fond , je sais que vous avez un œil
Sur nous, vous étiez le père de nos villages
Faites un signe, un geste pour l’humanité

J’aimerais crier sur tous les toits, plus jamais ça 
Mais, ma voix est faible, personne ne l’entend

Je n’ai pas honte de joindre les deux mains
Pour demander à tous les « Saints » de sauver
Les petits comme les grands, loin des bombes
Pour vivre correctement dans une vraie nation

Vous, les dirigeants, ne nous conduisez pas
Dans la fosse, le pouvoir c’est une chose 
Mais, notre sécurité en est une autre, alors
Pour une fois, mobilisez-vous pour le pays

J’aimerais crier, j’ai besoin d’être rassurée
Mais, ma voix est faible, personne ne l’entend

 Pour le plaisir, j’allume une bougie!

D Isabelle

Pour ne pas regretter, osez …


Premier extrait du prochain album de Grégoire, c'est beau, c'est frais!


Un clip me balade comme une fable romantique
Pour me faire rebondir à des moments intensifs
De mes jeunes années, il est rempli de fraîcheur
En simple réalité de la vie, comme un conte de fée

La chanson me ramène à bien des années du passé
Les images trottent dans mes pensées, mes souvenirs
Pour ne pas ôter la particularité des bonnes rencontres
Mon cœur est fragile et sensible, pour peu, il s’emballe 

Les sentiments sont grâce, ne tournez pas la tête, dites 
Ce qui vous maintient en vie, en dévoilant votre affection
Le sang ce n’est pas de l’eau, pour ne pas regretter, osez

Un clip m’émeut,  le jeune homme, beau et amoureux 
Gamberge les yeux fixés sur la vitre, sa vue est floue
A soupirer pour une femme dans l’ombre, les nuitées
Sont longues, il l’imagine discrètement dans ses bras

La chanson me baigne doucement dans une fièvre
Qui m’empêche de vieillir trop vite, en m’autorisant
De rêver encore un peu sur quelques notes en harmonie
Avec le film intégral de ma mémoire, sans anomalie

Les sentiments sont grâce, ne tournez pas la tête, dites 
Ce qui vous maintient en vie, en dévoilant votre affection
Le sang ce n’est pas de l’eau, pour ne pas regretter, osez




"C'est quand?"




jeudi 30 mars 2017

Qui me reconnaît? Oui qui?

Photo de classe d'Hon- Hergies: D Isabelle

Le souvenir d’une classe est resté au fond de mes pensées
Une photo remue ma mémoire, je me souviens si bien de vous 
Vous, mes amis et amies avec qui je passais beaucoup de temps
En classe, aux récrés, notre terrain de jeu était banal: la rue 

Une photo remue ma mémoire, je me souviens si bien de vous :
« Roseline, Béatrice, Christine, Thérèse-Marie, Martine, Anastasia, 
Thérèse, Jacqueline, Marie-Claire, Ingrid,  Fabienne, Pierrot, Isa,
 Les Philippe, Joël, Vadim, Claude, Daniel, Alain, et les p’tits Douai » 

Qui me reconnaît? Oui qui? Vous pouvez me le dire sans hésiter
Qui se reconnaît? Oui qui? J’attends votre mot pour témoigner

Roseline, Béatrice, Christine,Thérèse-Marie, Martine, Anastasia,
Mes fidèles acolytes, nous avions le même tempérament à jouer
Aux activités faciles, qui nous rendaient heureuses et plein de vie
Je frappais le ballon avec les garçons, je grimpais aux arbres aussi

Mes fidèles amies, nous avions le même tempérament à jouer
Aux poupées en les promenant dans nos bras, à les materner 
Comme de vraies mamans, la vocation était dans nos veines
Mon poème est pour vous, comme une chanson d’espérance

Qui me reconnaît? Oui qui? Vous pouvez me le dire sans hésiter
Qui se reconnaît? Oui qui? J’attends votre mot pour confirmer 

Les poupées en les promenant dans nos bras, à les materner 
C’étaient des moments inouïs de la vie, vous en souvenez vous?
Comme c’était mignon...Vadim et Anastasia nous partagions
La même passion pour la musique à Taisnières-sur-Hon

Des moments inouïs de la vie, vous en souvenez vous?
Les clarinettes face à nos saxophones étaient complices
Il suffisait d’un regard pour s’éclater et mettre le chef accroc 
Quand Jean Luc soufflait du trombone à percer nos tympans 

Qui me reconnaît? Oui qui? Vous pouvez me le dire sans hésiter
Qui se reconnaît? Allez, un petit mot sous la photo pour s’amuser

D Isabelle

Vive les années 69-70, vive les années de l’insouciance! 


lundi 27 mars 2017

Mon village, ma ville, je vous aime...

Photos: D Isabelle

Mon village, ma ville, je vous aime
Le saule pleureur est gai, mis en valeur
Avec la lumière, il est fier tout en vert
La belle saison l’embellit dans le parc

Le clocher penche un peu à mes yeux
C’est ce qui fait son charme, sa splendeur.
La mairie face à lui est comme au temps
Des chevaliers, les murs sont authentiques

Comme il est doux de voisiner avec vous
Je chasse tous mes maux, assise sur un banc
A regarder les jets-d’eau plonger dans la marre

Mon village, ma ville, je vous aime
Je vous admire chaque jour dès le matin
A parcourir vos rues pavées afin de louer
Les bienfaits que vous procurez à ma santé

J’estime avoir beaucoup de chance à vivre
Au Plessis Robinson, mon village, ma ville
Mes vers sont pour vous en cadeau sincère
Pour vous remercier de la quiétude acquise

Comme il est doux de voisiner avec vous
Je chasse tous mes maux, assise sur un banc
A écouter l’eau de la cascade dévaler le rocher

Mon village, ma ville, je vous aime
Je vous compare à d’autres hameaux
Il ne manque que la mer, les coquillages
Le sable, la plage mais, ce n’est pas grave

Nous avons Paris à la place, ville à Titi
City qui vit le jour et la nuit avec les touristes
Mais je m’en éloigne, je préfère l’ambiance
De nos collines à l’environnement familial

Comme il est doux de voisiner avec vous
Je chasse tous mes maux, assise sur un banc
A chatouiller du regard, la danse des canards