mercredi 29 juin 2016

Eh petit…

 Photo du petit chien: Laurence Duchateau
Montage du "Breakfast news": D Isabelle

Eh gamin, si tu entraînais tes copains, tu pourrais former une équipe nationale
(Le chien de ma sœur a de l'avenir avec le ballon)




Formidable, tu es formidable
Formidable en petit « Diable »
L’gamin d'Quévy est formidable

Eh petit, tu es formidable
Moi je pense que tu peux gagner
Vas-y, tu fais un carton sur internet
Dis à ta maman, qu’elle achète aussi
Le maillot bleu pour l’assortir au ballon
Mais le rouge des « Diables » te va bien
Je craque ! Allez gamin, tu es formidable
Joue, bravo petit, tu amortis, action, yeees !
En rouge ou en bleu tu es une vraie star
Je suis supporter et soutien les deux 

Formidable, tu es formidable
Formidable en petit « Diable »
L’gamin d'Quévy est formidable

Eh petit, tu sais que tu m’as fait rire
Derrière mon ordi, j'ai eu du plaisir
A voir ta technique pour marquer un but
J’espère que ta vidéo fera le tour de la toile
Pour que les joueurs dédicacent ton maillot
Au marqueur noir en souvenir de tes exploits
Allez ! On y croit, partageons ensemble
Les moments de match pour soutenir
Les Belges, les Français et tous les autres
Ils sont là pour gagner parce qu’ils sont

Formidables, formidables, formidables
Ils sont tous formidables, formidables...

Eh petit, dans la famille, on est fier de toi  

D Isabelle :-)


Une vidéo des exploits de ce petit chien est sur ma page Facebook, mais je ne suis pas certaine que l'on peut la visionner, car c'est une vidéo que j'ai partagé du profil de ma sœur, mais vous pouvez essayer quand même en cliquant ICI




mardi 28 juin 2016

Le sourire du bonheur…

Illustration: D Isabelle




Les auteurs tissent la nostalgie en soie
Dans un milieu idyllique de la société
Leur esprit s’ouvre à écrire naturellement
Des histoires habitées du présent, du passé
A méditer des pensées sur un bout de papier

Que la bouffée d’air frais fasse frissonner
Nos bras à l’éclat de chansons mythiques
Pour accrocher le sourire du bonheur
A la cadence de la baguette du maître

Les réflexions s’isolent à l’horizon
Elles sont à cheval dans la mémoire
Pour que l’âme les dévoile et les envoie
Au travers de mots partagés et proclamés
A ciel ouvert comme un appel aux amis

Que la bouffée d’air frais fasse dresser
Nos cheveux au son de cornemuses
Pour accrocher le sourire du bonheur
A l’interprétation de troubadours en kilt  

Les récitals défilent en été sous les lanternes
Les spectateurs s’agitent comme les vagues
Sur les brise-lames au pied des falaises
Les rimes en musique tanguent sur les vers
Pour vous faire chanter  M’sieurs - Dames

Que la bouffée d’air frais fasse dresser
Les seins de tous les fans dans les festivals
Pour accrocher le sourire du bonheur
Dans le miroir de l’espace semé d’étoiles

D Isabelle
Tous droits réservés ©









Dans l' eau de ses silences - Yves Duteil




jeudi 23 juin 2016

Dans le livre de mon existence …






Mon petit nom laissera-t-il un souvenir attaché
A ceux qui l’auront énoncé ou côtoyé ?
Ce baladera-t-il dans les pensées de quelques-uns
Un soir en fin de journée en regardant la lune ?

Dans ma tête les questions se bousculent
Comme des notes prisonnières d’une portée
Je murmure  par écrit tous mes états d’âme
En harmonisant la nuit ce que je ressens

Quand ce petit nom dort, plus rien ne bouge 
J-Brel le chantait divinement à sa fille adorée
En poésie de charme sur une douce mélodie

Mon petit nom est attaché à mon caractère
C’est un spécimen en quête de perfection
La créativité est ancrée au fond de son être
C’est un romantique adepte à son monarque

Mon petit nom est un dérivé de  « Elisabeth »
Il est royal, soit disant ! Implanté au moyen âge
Plébiscité en 1960 comme une traînée de poudre
Beaucoup ont été célèbres dans le monde des arts
          
 « Sauf moi ! J »

Quand ce petit nom rit, plus rien ne bouge 
J-Brel m’émeut quant il le chante en récital
Le mien reste fidèle à lui-même, point final

Mais, laissera-t-il un souvenir derrière lui ?
C’est une bonne question, me dira-t-on !
Avis aux amateurs pour m’écrire en vers
Leurs impressions pour apaiser mes préjugés

Il n’y a rien à gagner, si non que de vous offrir
Ma reconnaissance et ma sympathie avec cordialité
En énonçant votre analyse sous forme d’aubade
En témoignage dans le livre de mon existence

D Isabelle
(Petit nom = Prénom) Il a été porté par environ 360 000 personnes en France dans les années 1960)




mardi 21 juin 2016

C'est la romance de l'été...

                                
                                                   

Dans sa robe de soirée
Elle me tient compagnie
Elle console ma nostalgie
Je  la câline comme mon homme
Je m’imagine instant à balancer 
Les accords devant vous

Dans sa robe boisée
Elle m’incite à chanter
Un petit air de chez nous
C'est la romance de l'été

Sa caisse me fait vibrer
Son corps m’émotionne
Je rêve les yeux ouverts
Depuis qu’elle fait  partie
Des meubles de la maison
Je la bichonne, la pomponne

Dans sa robe boisée
Elle m’incite à chanter
Un petit air de chez nous
C'est la romance de la moisson

Dans sa robe ébène
Son corps contre mon corps
Tremble dans mes mains
Ma tête tourbillonne sur les notes
Je chante la tendresse, l'amitié
Sa compagnie me plait,c'est fou
Ma guitare fait partie de ma vie

Je me sens bien, je me sens... bien!

D.Isabelle
Tous droits réservés ©



lundi 20 juin 2016

J’ai un point dans le dos…





J’ai un point dans le dos,
Qui me rappelle que je suis vivante
Que mon sang coule dans mes veines
Comme la sève d’un faux platane
Qui monte à la saison des fleuraisons
La présence de l’intrus me harcèle
J’aimerais qu’il se décompose
Comme la verdure sur la terre battue

Mes yeux regardent la ligne
Tracée face à moi, face à vous
Ma soif  n’est pas terminée
J’ai faim de la vie, petit fripon

J’ai un point dans le dos,
Qui vient épuiser mes pulsions
Juste pour contrarier la continuité
De la destinée que j’ai attendue
Il est au creux de mes omoplates
Il m’interpelle en sollicitant
De prendre soin de ma personne
Mes charnières sont exaspérées
La fragilité s’installe dans ma chair

Je m’incline devant votre présence
De m’avoir informé de ma déficience
Ma soif  n’est pas terminée
J’ai faim de la vie, petit coquin

Pas d’anxiété,  je rassure mes proches
C’est le point, du temps illimité qui défile
En compagnie de bobines peignées sur un rouet
Une  folie d’un vieux métier que je défends
Tout un art à vouloir reproduire des idées aquarelles
En mettant en œuvre sur des aiguilles, un schéma
Tout va bien quand je me noie dans les boules
Si « le canaillou » ne se loge pas dans les épaules

D Isabelle
Tous droits réservés ©


J'ai créé un nouveau blog qui rassemble toutes mes passions...
Vous pouvez le visionner en cliquant ICI





mercredi 15 juin 2016

Les photos d’une vie…

Photo: D Isabelle





Les photos d’une vie sommeillent naturellement
Dans un album cartonné, aux pages un peu jaunies
Au fond  d’un tiroir d’une chambre de la maison
Elles réveillent en noir et blanc, la vie d’un passé

Les photos d’une vie, nous ramènent à l’enfance
Ce sont des moments sucrés et non périssables
De se revoir en barboteuse, chaussons aux pieds
S’imaginant le son de notre voix à irriter les parents

L’album de mes enfants, me dirige dans les sentiers
De mes vingt deux ans, c’était l’ère décontractée
Je tourne les pages avec émotion, comme si le temps
S’était arrêté pour respirer ce millésime des années 80

Les photos d’une vie, racontent des histoires
Tantôt attendrissantes, tantôt drôles et amusantes
C’est plaisant de se poser un instant pour visionner
Ces pièces à convictions pour ne jamais les oublier

Les photos d'aujourd’hui, veillent en numérique
Plus tard notre histoire sera dévoilée sur un écran
Nos petits enfants évoqueront à leur progéniture
Notre mémoire en moments uniques de leur passé

Les photos d’une vie, en digital resteront mobiles
En diaporama ou en vidéo, elles ne vieilliront pas
Les pages  resteront blanches comme un ange
L’album dormira au fond d’un tiroir, informatique

L’album n’aura plus d’odeur !

D Isabelle
Tous droits réservés ©








mardi 14 juin 2016

Bouge avec nous…

Illustration:  La Fête des Guinguettes 2013 à Le Plessis Robinson 



C'est la fête au village ce w-end Samedi 18 et Dimanche 19 Juin

                                 



Vieillir ce n'est pas se dire je t'aime
« En chien de faïence », vieillir en vers
Est bien mieux quand les mots s’agitent
Sur un air d'antan, un verre à notre santé

Vieillir c’est se souvenir des moments
De tendresse dans les champs de foin
Revivre les grandes vacances à la ferme
A rire aux éclats avec les amis d’enfance

Alors toi aussi, si tu te sens affaibli
Par le poids des années irritées
Redresse-toi et bouge aux thés dansants
Bouge avec nous, à la fête des guinguettes

Vieillir c’est avoir  le cœur qui soupire
A la date de naissance des enfants
Nos yeux lambinent sur les souvenirs
A regarder leur fraîcheur filer lentement

Vieillir ce n’est pas dire stop à la vie
Notre agilité est plus grande qu’avant
Puisque nous avons plus de congés
Consacrons nous aux loisirs et à l’avenir

Alors toi aussi, si tu te sens affaibli
Sur le poids des années passées
Redresse-toi et bouge aux thés dansants
Bouge avec nous, à la fête des guinguettes

D Isabelle
Tous droits réservés ©



vendredi 10 juin 2016

Je suis différente, mais pas moins…

Photo: D Isabelle
Saint Pancras Station...Londres




Je suis différente, mais pas moins
J’ai souvent pris les malles
Pour parcourir  d’autres « city »
Je  m’éloignais du nid familial mais,
Dans ma vie vous étiez présent

Je suis différente, mais pas moins
Souvent absente du registre privé
Rendez-vous manqué avec soupirs
Seule ma peine pourrait témoigner
Dommage qu’elle ne puisse parler

Partout où j’étais, une bougie allumée
Brûlait sur la table indiquant à mes yeux
Que je pensais à vous, là où je paradais

Je suis différente, mais pas moins
Au travers de mots je vous écris
Ma nature a toujours été  bohème
Si vous ne le saviez pas, je vous le dis
Je suis comme ça, rien n’y changera

Je suis différente, mais pas moins
Comme vous j’ai le cœur qui bat, qui bat
A faire bondir ma poitrine, pleurer mon âme
Mes émotions peuvent rire comme regretter
Le désarroi est spontané, tout ça pour dire

Vous êtes présent dans mon cœur
Là où je passe, là où je marche,
Je pense à vous, c’est tout, I love you, you



D Isabelle
Tous droits réservés ©

mercredi 8 juin 2016

Je pense à hier...

Peinture de: Olivier Bartoli



Ecrire un poème est une belle façon de soulager une triste nouvelle
Celui -ci je le dédie au papa d'une amie d'enfance!

Je pense à hier,
Je pense à mes tendres années
Quand  je passais mes journées chez vous
Je me sentais bien en votre compagnie
Votre  maison était paisible et florissante

Je pense à hier,
La nostalgie projette le film de ma jeunesse
Je revois les jeux et les fous-rire aux soirées
D’été autour d’un Barbecue, autour de vous
C’était le temps des cerises, c’était le bon temps

Je pense à hier,
Aujourd’hui,  je suis triste suite à la nouvelle
Il est difficile de trouver les mots pour dire
Ce que je ressens mais, sachez que je suis
De tout cœur avec vous, ma pensée survole

Je pense à hier,
Avec une accolade pour adoucir
Ce moment profond et douloureux
Je vous envoie en poésie quelques mots
Pour apaiser vos larmes, alléger votre chagrin

Je pense à hier,
Je pense à toi , je pense à Alina
Je penses aux enfants,  petits enfants et arrière petits enfants
Ma sensibilité vous présente mes condoléances
Les plus vives et sincères avec toute mon amitié


Gros bisousss de nous
Bébelle, Michel and Family

Texte: D Isabelle
Tous droits réservés ©



vendredi 3 juin 2016

A pied, à ch’val, ou en voiture…

Dessin: D Isabelle
Dessiner pour le plaisir, c'est un peu comme écrire
Ca stimule et c'est bon pour le mental



A pied, à ch’val, ou en voiture
Peu m’importe, je fourmille
Pour approcher mes rêves
Quoi que l’on dise, je fonce

Je fonce à mes envies
Je cueille la vie
Je sème l'allégresse
Je récolte à tour de bras
Les « j’aime » de vous

En métro, à pied ou en vélo
Peu m’importe, je tourbillonne
Je pense à une autre planète  
Quoi que l’on fasse, j’embarque

J’embarque mes désirs
Je ris avec les étoiles
J’embrasse le soleil
Je pleure sous la pluie
La nuit satin m’enlace

En moto, à trottinette, ou à pied
Peu m’importe, je file, file
L'angora sur ma machine
Quoi que l’on dise, je réalise

Je réalise mes aspirations
En tournant la manivelle
Ma collection  prolifère
J’entasse mon agrément
J’amasse les compliments

D Isabelle
Tous droits réservés ©





mercredi 1 juin 2016

Je sais que tu sais…





Parfois, la vie utilise
Toute notre énergie
A faire autre chose
A une date importante

Mais sache si tu m’entends
Tu étais dans mes pensées
Même si je n’ai rien dit
Tu étais présent ce jour là

Mon esprit raisonnait vers toi
J’ai fait un clin d’œil au ciel
En souvenir de ton birthday

Parfois, le temps manque
Pour déposer une fleur
Où tu reposes, où tu veilles
Mais, sache si tu m’entends

Que je ne t'ai pas oublié, non
Ce jour là j'étais autre part
Pour jouer mon rôle de maman 
Pour être près de mon enfant

Mon esprit raisonnait vers toi
Je te voyais assis dans le jardin
Je goûte encore à ce millésime

Je suis sûre que tu as entendu
Mon cœur te parler tout bas
J’ai allumé une bougie en poésie
Je sais que tu sais alors, je souris

Là ou tu contemples notre univers, dad
Il n’y a pas de frontière entre toi et moi
On se dit tout dans un silence spirituel
C’est le furtif de la vie et d’un ailleurs

D Isabelle
Tous droits réservés ©



 (Dad = Papa)
(Birthday = Anniversaire)