lundi 31 mars 2014

Les visions sont des âmes perdues...


A chaque fois que je ferme les yeux
Tu es là, je t'incarnes, je te sens si proche
Que j'aimerais que tu sois là devant moi
Lorsque mes paupières se redressent

Tu me suis, ton absence est pesante à alimenter
Dès mon réveil, mon bonjour je te le consacre
L'entends-tu ? Je reçois tes attentes sans cesse
Tu es loin, mais je discerne une onde voisine

Chaque pas dans Paris, j'aimerais t'entraîner
Et tirer mes rêves afin d'apaiser mon appétit
Visiter la ville que tu connais à peine à ton bras
Te montrer qu'il y a de superbes jardins chamarrés

Se promener au champs de courses à Vincennes
Parier sur le cheval favori, non pas pour gagner
Juste pour regarder tes yeux larmoyant rayonner
Et admirer ton sourire s’éclater à la fin du tour

A chaque fois que je ferme les yeux
Tu es là , tu subsistes, je te sens si proche
Mais, lorsque mes paupières se redressent
Tu t' évanouis, les visions sont des âmes perdues

Les miracles n'existent pas, je sais,..


D.Isabelle

31-03-2014


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Une pensée écrite guide la main à soulager le cœur

L'absence est pesante sur le quotidien, mais en lisant
Une citation de Marcel Proust, je vois l'absence autrement

«  L'absence n'est-elle pas pour qui aime
La plus certaine, la plus efficace, la plus vivace
La plus indestructible, la plus fidèle des présences ? »


samedi 29 mars 2014

Peace around the world...

Un ballon blanc se laisse chavirer lentement avec le vent
Pacifiquement il plane au dessus de l’océan sous le soleil
Les oiseaux de la mer l'accompagnent pour le protéger
Leurs ailes argentées lui font de l'ombre pour ne pas éclater
Une mission confidentielle lui est remise au bout d'un fil
Il doit transmette un message d'amour en se déplaçant en arc

Le chemin sera long, il faudra s'armer de patience
Pour arriver à destination, comme une bouteille à la mer
Il glisse avec quiétude, en observant la communauté sous son fil
Quand le vent tombera d’épuisement, il se posera lentement
Sur une plage de sable blanc , il observera les planètes de l'infini
En écoutant les vagues chanter venir s’écraser sur les brises lames
Et s'abandonner à l'air frais du littoral pour ne pas s'endormir

A l’aube, il se demande qui s’inclinera pour venir lire sa dépêche
Les questions affluent, il est inquiet ! Sur quelle terre est-t-il largué ?
Dans quelle langue parlent ces gens ? La personne qui le ramassera
Comprendra-t-elle le message ? Mais il est confiant, le rédiger est éloquent 
C’est un présage d’espoir écrit en Anglais, elle comprendra certainement
Son papier pour qu'il puisse reprendre le relais du voyage avec les oiseaux

Si c'est un marin, il le glissera avec délicatesse dans un flacon
Pour le soumettre à la mer, celle-ci le poussera vers une autre nation
Je fais confiance en sa déclaration pour unir la conscience des hommes
Afin de sauver la planète avec quelques mots expressifs et énergiques
Je pense que le monde a besoin d’humanité pour le sauvegarder
Et survivre face à la lune, au soleil, en apprivoisant les démons de la nature

N’hésitons pas à relier nos mains autour de lui pour que le calme règne
Et que les droits de l'homme soient respectés dans tous les pays de cette planète
Nous sommes nés courageux et volontaires mais pas pour se faire la guerre
Ensemble nous pouvons lancer le défi d'envoyer en toute sincérité et loyauté
«Peace around the world »  que vous soyez, la paix n'a pas de limite
Tous les moyens sont bons pour qu’un jour ce message arrive chez nous !

Rendons hommage au ballon blanc en attachant un message
Le mien, voyagera dans le ciel de Paris avec mon poème
Si vous le trouvez, mon adresse Email sera en bas de la page
Je n’ai qu’un souhait, que mon écrit puisse suivre sa route loin, loin car,
A ce jour, aucune loi n'interdit de croire à la quiétude, ensemble laissons
Nos souhaits s’envoler!

D.Isabelle

Le 29-03-2014

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Peinture: Franck Weston Benson 1862-1951
Pour en savoir plus sur l'artiste, cliquez ICI


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jeudi 27 mars 2014

Exilé sur l' île au soleil...


En écoutant le répertoire de Serge Lama, ses chansons
Brisent ma voix, l'émotion couvre mes bras de frémissements
Certaines me parlent tellement, que mes forces escortent
Ma prière pour continuer à croire à cette vie qui reste si
Compliquée à mes yeux depuis trop d’années maintenant

J'aimerais apercevoir le jardin du bonheur pour ne plus irriter
Ma sympathie et solliciter ma bonne humeur à revenir avec allure
Les tourments abaissent forcément mes lèvres à faire la grimace
Ma mine perd son éclat comme une paroisse sans clocher
Ma réflexion fait sourire ma plume, heureusement l’écriture à du bon !

Il suffirait de si peu pour revoir les beaux jours refleurir le côté positif
Et piailler avec les oiseaux du printemps pour apaiser mes inquiétudes
Chanter avec eux la mélodie de mon enfance, celle qui berçait les rêves
De maman au fond de sa cuisine, en tournant la cuillère dans ses faitouts
A patienter de retirer son tablier pour aller danser et colorer cet instant

J'aimerais provoquer la chance en duel et lui demander pourquoi cette fatalité?
Qu'ai-je fait au bon Dieu pour diminuer mon avancée d'un avenir lumineux?
Je voudrais qu'il entende que mon endurance n'est plus, que j'ai du mal à temporiser
Et qu'a force de suivre des bateaux qui me mène nulle part, ma confiance s' effile
La vie en rose ne sera jamais ma providence, mon conte de fée s'exile sur l' île

Au soleil...

D.Isabelle
Le 26-03-2014


Magnifique concert de Serge Lama au Québec
https://www.youtube.com/watch?v=-b4MtYJIMmA



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Photo: Portrait de Serge Lama au fusain de Claude Gassian
A. galerie
12 rue Léonce Reynaud
75116 Paris
Tél : +33 6 20 85 85 85
Ouvert du lundi au vendredi

Site internet
http://www.a-galerie.fr/http://www.a-galerie.fr/


mardi 25 mars 2014

Sur le bord de mon coeur...





J'aimerais écrire une belle poésie
Comme celle que je viens de découvrir
Une poésie douce comme une caresse
Pour emmener mes lecteurs dans un rêve

J'aimerais laisser ma plume glisser sur le papier
Comme une feuille de chêne  glisser sur la Seine
Pour que mes mots effleurent les flots au fil de l'eau
Pour refléter à la surface afin qu'ils puissent être lu
Sur toutes les berges avec exactitude et continuité

J'aimerais retenir en haleine le promeneur Parisien
Ou d'un pays lointain juste par des mots mis en quatrains
Et qu'il se souvienne que je n’étais ni poète ni écrivain
Mais moi tout simplement, la fille venant du Nord de la France
Celle qui observait pour écrire ses ressentis avec simplicité

J'aimerais écrire une belle poésie
Pour vouer ma générosité, mon naturel, mes sacrifices
Et approcher l'inconnu pour qu'il me dise s'il a vénéré ce poème
En paraphant ses impressions sur le bord de mon cœur


D.Isabelle

Peinture:  Johan Barthold Jongkind
Pour en savoir plus sur l'artiste, cliquez ICI


Photo: Johan Barthold JONGKIND
"La Seine et Notre-Dame de Paris- (Pont Saint - Michel)1864 , huile sur toile 42 x56,5cm- Musée d'Orsay Paris

jeudi 20 mars 2014

Face un mur …

Un cri de découragement…

 Suite à une perte d’emploi, l’incroyable peut tout faire basculer !

 Ce n’est pas exagérer de le dire ou de l’écrire… 
 Mais comme nous sommes battants et nous n’avons jamais reculé devant de nouvelles aventures, les recherches actives et l’expérience de mon mari ont apporté de bons résultats à la recherche d’emploi en quelques semaines à Paris, ce fut un grand soulagement et surtout heureux de mettre fin à ce cauchemar !
 Je suis moi-même à la recherche d’une activité, pour améliorer notre situation…
 Cinquante trois ans n’est pas l’âge idéal, je sais, ça ne va pas être facile, mais je persiste !

 Notre fils a eu la gentillesse pour nous aider afin de nous intégrer à cette belle ville, en nous logeant quelques mois, juste le temps de retrouver un toit…
 Le soucis… son contrat de stage se termine bientôt, et il va repartir en Angleterre terminer sa dernière année d’étude.
 Donc vous avez certainement compris que nous sommes activement à la recherche d’un logement
 Mais en France, les locations sont inaccessibles aux personnes avec un revenu mensuel moyen…
 C’est impensable mais vrai !

 J’espère que mon écrit va réveiller certaines consciences…
 .
 .
 .
 .
 .
 Face un mur …

 Vous n’avez pas compris ce que je crains
 Si nous nous trouvons face à un mur, ce sera l’enfer
 Il est terrible de ne pas avoir une trouée dans la brique
 Pour qu’une seule possibilité voit le jour face au destin
 Nous ne demandons qu’un zeste de compréhension
 Pour continuer à vivre normalement sans fioritures

 Non, vous n’avez pas compris que :
 De se sentir isolé c’est comme une voiture
 Sans vitesse, nous sommes au point mort
 Le regard dans le vide, nous invoquons le ciel
 Pour que le printemps refleurisse notre future
 Afin de ne pas nous décourager à penser au pire

 Qu’il est insoutenable, en travaillant
 De se voir rejeté aux droits au logement
 Pour cause de revenus moyens, oui cela existe
 Tous ferment leur esprit en sauvant leurs intérêts
 Et leur argent avant l’intérêt bienveillant des gens

 Non, vous n’avez pas compris
 Que votre cœur se referme en voilant votre raison
 Mais avec votre logique, notre horizon est compromis
 Le soleil va devenir noir comme les ténèbres
 En effaçant nos espérances, toutes vont perdre
 Les couleurs de leurs convictions

 La confiance de nos projets d’un avenir meilleur
 Va faiblir comme le vent après la tempête, puisque
 Toutes les personnes aux petits revenus vont se retrouver
 A la rue, et si ça continue, c’est ce qui nous pend au nez
 Je n’exagère pas en l’écrivant, c’est la pure vérité

 Messieurs les politiques, cet écrit je vous le dédie
 Nous avons le sentiment d’être châtie
 Par l’acharnement d’un raisonnement démodé
 Nulle part ailleurs ces pratiques existent encore
 Nous sommes étourdis que cela subsiste à la capitale

 La grande ville…
 Celle qui fait rêver le monde entier avec les nouvelles
 Technologies, la mode, la cité ou l’argent coule à flot
 Je trouve qu’il est immoral pour des êtres arrivant
 Au seuil de la pension, mais toujours en activité
 Qu’ils n’arrivent pas à se louer un bien, pour prétexte
 Que tous les propriétaires obligent à présenter un garant

 Impensable mais vrai…
 Un garant gagnant au moins trois fois le loyer
 « Comme disait un homme politique du passé, c’est un Scandale ! »
 Mon homme est plus près de la soixantaine que de la cinquantaine
 Ou allons nous le dénicher ce fantôme?
 Nous allons devoir frapper à la porte de Mimi Mathy
 L’ange gardien pour qu’elle nous trouve une solution ?

 Il serait temps que la loi des locations d’immeubles
 Revoit sa copie de contrat en se mettant au niveau
 Avec un dépôt de garantie « Solide » sur un compte bancaire
 Comme les pays voisins afin, de donner une chance
 A tout le monde de pouvoir dormir dans un lit

 Non, vous n’avez pas compris
 Que nous avons peur de devenir les nouveaux mendiants
 Si nous ne trouvons pas un propriétaire prêt à nous entendre
 En acceptant notre proposition et notre bonne volonté
 Avec des preuves à l’appui de notre location précédente
 Que nous sommes des locataires exemplaires

 Oui, nous avons peur qu’un jour arrive de devoir
 Nous promener avec notre baluchon sur le dos en espérant
 Un refuge pour une nuitée…
 Nous comprenons pourquoi tant d’hommes et de femmes
 Dorment en France dehors, même en travaillant.

 Prenons conscience que nous sommes tous concernés,
 Réagissons pour défendre le droit au logement aux petites gens
 Crions ensemble, partageons cet écrit afin qu’il tambourine
 Aux oreilles du gouvernement…
 Le désespoir m’oblige à hurler « Vive la crise ! »

 D.Isabelle
 Le 19-03-2014

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Photo: Aquarelle de Isabelle Seruch Capouillez
Pour en  savoir plus cette artiste peintre, cliquez ICI

mercredi 19 mars 2014

Le silence...

 Le silence
 M’introduit dans un autre monde
 Celui de la solitude et de l’éloignement
 A force de me diriger vers l’isolement
 Les volets de mon existence se baissent
 Doucement comme une ombre se dissipant

 Mes yeux voyagent en fixant les nuages
 Je vois des visages, je prie le ciel de me protéger
 Et de continuer ma route sans me retourner
 Afin de ne pas me laisser tomber à cause
 De pensées négatives qui nuisent à ma santé

 Mes forces parfois s’épuisent
 De penser à ceux qui me blessent
 A ceux qui m’abattent avec des sous entendus
 La tristesse envahit ma journée un court instant
 D’entendre en silence leurs pensées
 Qui parlent pour enfoncer le clou dans ma chair

 Mais, ce n’est pas grave!

 Le silence me permet d’écouter et réfléchir
 En me disant que demain sera un autre jour
 J’ai récupéré des autres sensations
 En me distrayant à écrire mes pensées
 Pour effacer les percussions négatives
 Ces vibrations me donnent un peu de bonheur
 Celui que je n’avais jamais ressenti jusqu'à présent

 Le silence à la puissance de faire le point
 Il faut parfois marquer un temps d’arrêt
 Comme sur une partition pour stopper
 La musique des on-dit, la musique des critiques
 Les sons cachés se dévoilent toujours en silence
 Comme une sentence, mon deuxième sens les perçoit

 Le silence est parfois plus éloquent que des mots
 Il suffit de le pénétrer et de le percevoir

D.Isabelle
 19-03-2014

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 J'aime beaucoup les mots de Christian BOBIN

 « Ce n’est pas pour devenir écrivain qu’on écrit
 C’est pour rejoindre en silence cet amour qui manque à tout amour
 C’est pour rejoindre le sauvage, l’écorché, le limpide
 On écrit une langue simple, on ne fait aucune différence entre l’amour,
 La langue et le chant, le chant c’est l’amour.
 L’amour c’est un fleuve, il disparaît parfois, il s’enfonce dans la terre.
 Il poursuit son cours dans l’épaisseur d’une langue, il réapparaît ici ou là,
 Invincible, inaltérable. »

Pour en savoir plus sur ce poète, cliquez ICI
La photo: Peintre inconnu


mardi 18 mars 2014

Un petit coin fleuri …

 Un petit coin fleuri
 C’est un peu de douceur à mes envies et renouer avec la nature
 Le ciel bleu égaye l’immensité de ce lieu avec élégance
 Ce n’est pas rien de le contempler avec émotion en laissant
 Une pensée pastelle s’envoler à ceux que j’aime affectueusement

 Les petits coins fleuris de Paris
 Je les aime avec le plaisir du cœur, ils me procurent
 Le bien-être le temps d’un instant en me laissant
 Soupirer d’émoi et d’enchantement en observant
 La danse des canards sous le soleil fuir mon objectif

 J’aimerais saisir leur langage pour discuter avec eux
 Afin qu’ils arrêtent de protester lorsque je les approche
 Pour les photographier, ils râlent en secouant leur plumage
 Pour que je les laisse tranquille et faire leur sieste paisiblement

 En me retournant, j’aperçois une ombre dialoguer avec un arbre
 Celui-ci le console d’avoir perdu sa chevelure épaisse
 En lui chantant la chanson du printemps pour qu’il retrouve
 L’énergie de parer le haut de sa tête d’un feuillage verdoyant

 Un petit coin charmant dans la grande ville, c’est poétique
 Son authenticité apaisante ressource mes sensations
 Loin des boulevards, de la circulation et de la pollution
 L’herbe fraîchement coupée épanche un parfum aux senteurs
 Campagnardes, il suffit de respirer pour qu’un sourire se crayonne
 Sur mes lèvres et honore mon visage afin d’effacer tout agacements

 Ma fascination je la dédie aux jardiniers, ils sont Rois
 Dans leur domaine, leurs œuvres sont sublimes en se transformant
 En de véritables tapis fleuris, ces artistes redessinent avec passion
 Les parterres de multiples couleurs pour le plaisir de nos regards
 J’aime m’asseoir sur un banc pour contempler leurs tableaux

 Les petits coins fleuris c’est aussi la magie et l’envoûtement
 D’ouïr les cris des enfants sur le tourniquet ou sur les balançoires
 Sans le savoir leur bonne humeur, offre beaucoup de gaieté
 Dans le parc pour devenir une cour de récréation afin de combler
 La solitude et nous entraîner vers la nostalgie de nos jeunes années

 D.Isabelle
 Le 17-03-2014

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Photo: D.Isabelle

jeudi 13 mars 2014

Se familiariser avec son histoire…

 La sonorité et la noblesse de la guitare
 Me glisse dans un bain d’amour
 Pour son histoire et ses origines
 Elles remontent à plus de quatre milles ans
 Nous pouvons dire que c’est un instrument
 De prestige, de charme et de puissance

 A l’écoute de la résonance sortant
 De son caisson, je ferme instinctivement
 Les yeux pour mieux apprécier les harmonies
 Percevoir les doigts agiles se déplacer sur le manche
 Pour que les cordes me fassent vibrer de l’intérieur

 Mon corps se laisse couvrir de la tête au pied
 De frissons d’émotion par la régularité musicale
 De cette belle boiserie antique, qui a bien évolué
 Au fil du temps et des ans pour devenir l’instrument
 Du passe-temps de musiciens jeunes et moins jeunes

 Les Beatles, Jimi Hendrix ou les Paul Gibson
 Ont marqué l’histoire de la guitare en apportant
 Une contribution très précieuse à la croissance
 Et à la visibilité de l’un des instruments à cordes
 Les plus populaires au monde et appréciés de tous

 Voyez ce petit documentaire ci-dessous qui ne donne qu’une envie: Apprendre…
 Plus de 30 GUITARES SUR SCÈNE!!!
 Toutes sont jouées et "mises en valeur" par un morceau
 Correspondant à leur époque, leur construction,
 Leur vocation musicale…
 Se familiariser avec l’histoire de la guitare, ses ancêtres
 Et ses origines, peut revaloriser le mouvement de l’apprentissage !

 D.Isabelle
 Le 12-03-2014


Pour écouter L"HISTOIRES DE GUITARES" par Gaëdic CHAMBRIER, cliquez ICI
Découvrez l'histoire de la guitare classique en cliquant ICI
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Peinture: Van Cleef 

vendredi 7 mars 2014

Ma confession nous unis…

 Les souvenirs restent en suspens
 Dans nos pensées comme le reflet
 Doré d’une planète au creux de l’âme
 Qui peut dire avec certitude qu’après
 La vie il n’y a pas une autre vie ?

 Je m’exile lorsque je pense aux êtres
 Qui nous ont quittés, les songes
 M’habitent, mais j’ai la sensation
 Que leur existence est immaculée
 Elle rôde et distingue mes faits et gestes

 Parfois, j'ai la sensation d'un souffle
 Au dessus de mon épaule, j'ai peur
 Mais de là-haut veulent-ils dialoguer
 Avec moi pour me contraindre à sourire
 Afin de gommer les désagréments de la vie ?

 Ma confession s’unit à ma pensée
 Tranquillise mon cœur de croire
 A la présence d’anges à mes côtés
 Avec eux, je lutte avec solidité
 Pour ne pas me sentir abandonnée

 Au-delà de l’étoile lointaine, je vous aime
 Là où vous êtes, je vous saisis d’une voix céleste
 Vous me parlez en douceur, votre mémoire est si claire
 Que vous m’inspirez à divulguer mes impressions
 Imperceptiblement, vous sommeillez en moi !

 D.Isabelle
 Le 6-03-2014


Photo: Auteur inconnu